Well, I still don't want to talk a lot, so ...

But as I want to share you something, I chose "Begin to fade" by Micky Green. It's a special song for me 'cause it reminds me a lot of things. Happy or sad stuffs, who cares ? I just like listenning that song and more generally, MG's voice. Listen and have an opinion !

"XOXO" ...

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Ironique, non ? Il y a de l'ironie dans mon "destin". Dieu, que je déteste ce terme ! A moi qui me lève contre l'établi, qui essaye de me battre contre ce qui semble inébranlable, ce mot résonne comme une insulte. Nous sommes nos propres maitres. Nous décidons de faire ou de ne pas faire. Nous faisons nos propres choix ! Ce serait trop facile de plaider le destin ou la volonté divine pour justifier nos actes, même les plus abjectes. Nous sommes qui nous décidons d'être ! Le destin, les écrits, la volonté de l'univers ... Je ne peux y croire.

Il y a un an, je la perdais. Vous m'avez lu, vous savez à quel point cet évènement m'a touché et peiné. Vous savez également à quel point il m'a été difficile de refaire surface et combien mes rechutes ont été nombreuses. Mais désormais, il n'y aura pas de rechutes ... De la même manière que je ne la pleurerai plus. Ma Lune est partie avec un astrologue, elle est heureuse avec et je le suis pour elle ... Une étoile est apparue et elle brille de plus en plus. Sa présence me fait gonfler le coeur et me fait me sentir léger.

Elle pourrait témoigner ... J'ai denouveau un coeur qui bat ... Manifestement, il bat pour elle ... Elle semble croire qu'il pourrait encore battre pour l'autre ... Une histoire confiance, il parait ... Mon étoile est là, présente., tout le temps. Pour combien de temps ? Je ne sais pas et ... Ca n'a que très peu d'importance ... Vivons le moment présent ...

Elle est là et j'aime ça. Oui, elle me manque, lorsqu'elle est loin. Tout me manque chez elle, son regard, ses lèvres, son sourire, ses cheveux, son parfum, sa peau, ses vêtements, ses sarcasmes, son ironie, ses fausses peines ... Moi ? Dépendant ? Non ... A peine !

J'ai mis deux jours à écrire cet article, ou du moins, je m'y suis repris à deux fois, aujourd'hui. Cette journée a été longue, très longue. Mais elle a été bonne. Ca a été l'une des meilleures depuis que je suis rentré. Ca fait longtemps que je n'ai pas été aussi euphorique. Encore une fois, nous avons créé. J'étais chez Al3x, ce matin. Putain, j'ai encore le coeur qui bat la chamade. The Messenger, de Linkin Park, tiré de A Thousand Suns, covered. Honnêtement, c'est la première cover qu'on fait, qu'on enregistre et dont je suis assez satisfait. Je n'aime pas l'écouter sur Youtube, alors je l'ai mise sur mon Ipod et depuis, elle tourne, en boucle.

J'ai trouvé une sorte d'équilibre. Je vais, je vous le jure. Tant qu'elle sera là, tant que je ferai des efforts pour qu'Al3x porte ma voix avec sa guitare, tant que je continuerai à être aussi motivé pour mes cours et pour ce qui pourrait se passer ensuite ... Oui, je peux le dire, je suis ... heureux ... C'est au prix de pincements au coeur, certes, mais je crois sincèrement que je vais mieux. Mieux qu'il y a un an, en tout cas. Je ne vivrai plus dans le passé. Je ne veux plus le faire.

Si le futur me faisait peur, c'est parce que je ne savais pas ce dont il était fait. Aujourd'hui, je sais qu'il sera comme je l'ai décidé. I make my own rules, this is my way to live ... (Sevla - Sunnyday)

Et puisque vous ne tenez pa à vos oreilles ... =) ! =$ ! Ah, aussi, ne faites pas (trop) attention à la vidéo, c'est juste la couv de l'album où l'on peut voir la main d'Al3x, d'ailleurs ! =)

When you feel your alone
Cut off from this cruel world
Your instincts telling you to run
Listen to you heart
Those angel voices
They'll sing to you they'll be your guide back home

When life leaves us blind
Love keeps us kind
It keeps us kind

When you've suffered enough
And your spirit is breaking
Your growing desperate from the fight

Remember your loved
And you always will be
This melody will bring will bring you right back home

When life leaves us blind
Love keeps us kind
When Life leaves us blind
Love keeps us kind

" Je me fous de ce que les gens peuvent dire. Je ne suis plus un enfant. Je m'assume et j'assure. Vous et vos morales pleines de préjugés, foutez moi la paix. "

Vas-y. Maintenant, fais cogner mon coeur à m'en rompre les côtes. Vas-y. Je te dirai si ça me plait. Je te le dirai, si ça me plait. Je te le dirai ...

Putain.

Elle a fait papillonner mon coeur dans le mauvais sens. J'ai beau chercher, je ne vois pas de bonne direction. Je ne la connais pas, je ne sais pas ce qu'elle a vécu. La seule chose dont je peux être sûr, c'est qu'elle est en manque. Comme moi. Pire que moi, en fait. Et c'est ça qui me fascine. Salope de Vie !

"On y comprend plus rien, explique."

C'est une fille. Une blonde. Elle a des longs cheveux d'or qui ondulent et qui flottent lorsque le vent souffle. Elle se cache derrière sa dépravation. La pauvre, elle me fascine ! Elle est folle ! De la vie, de la mort, de l'alcool, de la drogue ! Elle est folle à interner ! Pourtant, Sun, j'ai l'impression d'en être tombé amoureux ! Je la veux. Je veux l'avoir et la posséder. Tu vois que toi et moi, on est pas aussi différent que tu ne le penses !

"La ferme. Tu ne sais rien de moi."

C'est ce que tu crois ! Mais regarde ! Regarde-toi, mon pauvre Sun ! Tes poings se sont serrés et un étrange sourire s'est dessiné sur ton visage avant que tu ne reviennes à toi ! Au faux toi ! Laisse-toi aller !

"La ferme, j'ai dit ! Je ne veux pas parler de ça, avec toi."

Tu sais, Sun, la folie n'est pas une tare. C'est dommage que tu réagisse aussi mal. Mais cela a peu d'importance ! Elle est magnifique, Sun ! Elle est insolente, même dans sa beauté. Sa manière de se tenir, sa manière d'agir et de parler ! Oh ! Si tu savais ! Je me damnerai pour que sa gorge soit entre mes mains !

"Tu ne sais pas ce dont tu parles. Tu ne fais que céder à la folie du désir. Elle est bien plus jeune, bien trop immature. La seule chose que tu récolteras, c'est une expérience ratée."

Et tu es, évidemment, bien placé pour dire ça, n'est-ce-pas ? Trop immature ? L'autre ne l'était pas, peut-être ?

"Fous-lui la paix. Foutez-moi la paix, avec elle. Lachez-la et lachez-moi !"

C'est marrant, comme tu t'énerves lorsqu'on parle d'elle ou encore de ... comment tu l'appelles déjà ? Mince ! J'ai son nom sur le bout de la langue ... !

"..."

Tu ne dis plus rien ? Aurais-je toucher un point sensible, mon cher Soleil ?

"Va te faire foutre."

Non, non, non ! Ce serait bien trop facile ... Et trop plaisant ! Ah ! Cher Sun ! Que ta raison m'agace, si tu savais ! Elle me plait, mais elle m'agace ! Laisse-toi aller à la folie !

"Je ne suis pas comme toi et je ne le serai jamais. Tu n'as ta place auprès de moi que parce que j'ai décidé de te garder. Tu te serais fait lyncher, sinon. Regarde-toi et dis-moi que tu es fier de ce que tu es devenu. Tu ne le pourras pas et tu sais pourquoi ? Parce que ce n'est qu'un masque. Tu portes un masque de folie qui berne le monde, mais qui me laisse de marbre. Mens-toi si ça t'amuse, je ne te mentirai pas, moi. Je n'ai plus le temps. Si j'avance, tu recules. Alors plonge dans ta névrose et nourris-toi de mes peurs lorsque nous nous parlons, si ça t'enchante, mais tu ne restes qu'un crétin, faible, lâche, incapable de voir sa propre déchéance."

... Je te hais.

"Je partage ce même sentiment à ton égard."

Dégage de chez moi. Je ne veux plus te voir avant que j'en ai décidé autrement. Dire que je voulais te parler de France ! Crève, charogne.

"Je me fous de France et de ta pseudo-dépendance à l'odeur de tabac froid de ses cheveux et à celle de sa peau. Je m'en fous, vraiment. Ce qui m'intéresse, en revanche, c'est combien de temps il va te falloir pour te prendre une gilfe. Soit de sa part, soit de la part de son frère, soit de la part de son copain."

(Il me montre la porte de sa chambre)

Sors, Sun, je suis fatigué ...

(Je m'exécute. Il attend que j'ai ouvert la porte de chez lui pour parler.)

... Les choses vont recommencer, n'est-ce-pas ?

"Seul toi peut le décider, mon ami. Prends soin de toi."

[ Un peu particulier, l'article d'aujourd'hui ! C'est la retranscription plus ou moins fidèle d'une conversation avec un de mes amis. J'aime lui parler. Mais il est lâche et ce n'est qu'un crétin. Bref, on finit avec du Linkin Park, de MTM. Enjoy ! ]

Manque d'envie. Manque de motivation. J'ai écouté du Nessbeal toute la journée qui a d'ailleurs mal commencé. Celle d'hier avait mal finie. Cette nuit était pourrie. Je n'ai pas reçu ... "mon talisman". Fais chier. Aucun bonheur dans cette journée, à part celui de pouvoir écrire ici quelques lignes. Ca fera le 5ème jour d'affilé, je crois. 17h17. Il faudra que j'ailles voir sur l'article 'when the vision falls' ce que c'est censé signifié. Dans un an, je pars. Au pire, je meurs.

Je quote Stèle de ce cher Qad, parce qu'il me tient à coeur ce poème.

Elle avait sous les ongles les lambeaux d'une peur viscérale
Ses lèvres avaient le goût amer, de foutre et de ricine
Je trouvais à son visage des éclats de pierre tombale
Une douce mélodie décrivait, les enfers de ses lignes

Il était tard et j'avais bu, sur les trottoirs de Montmartre
Elle était belle à moitié nue, réclamant quelques lattes
Sur son pâle sourire avait plané le désespoir du viol
Quand elle prit place à mes côtés, elle sentait l'éthanol

Mais je l'ai vue, transie de froid, proposant son corps
J'ai dit, je suis las, en ce lieu, je n'attends que la mort
Viens, assieds toi pour cette nuit, offre moi tes lèvres
Je te laisserai quelques gorgées, et partager mes rêves

Son souffle éteint se réfugiait dans mon écharpe
Je caressais ses seins, lui déclamant du Sartre
Sa lente respiration m'apaisait jusqu'aux tréfonds

L'éternité semblait tangible, purifiée de nos démons

Nous étions là, sous le ciel, comme deux jouets cassés
A l'ombre des réverbères, contant des bribes de passé
Je lui ai donné ma veste, et elle m'a offert son drame
Loin de ces nuits où la peste, contaminait nos âmes

Les aurores, nous surprîmes l'un dans l'autre
J'étais vide au petit jour, de mes peines et de mes fautes
Je la laissais enveloppée du linceul de mon vêtement
Et repris ma route pour ailleurs, sur les pavés glissants

On va faire dans le simple et continuer dans la découverte de l'album de Linkin Park : Robot Boy, qui ressemble à s'y méprendre à "Hey Joe" reprise par Jimi Hendrix mais initialement interprêté par Billy Roberts.